Réalisation que j'ai réalisé
d'après le Tutoriel de Danielle , j'ai juste modifié la disposition des éléments et ajouté trois tubes différents également.
Réalisation que j'ai réalisé
d'après le Tutoriel de Danielle , j'ai juste modifié la disposition des éléments et ajouté trois tubes différents également.
Elle a la peau caramel.
Rayonnante à l'heure estivale,
Le rythme pulse dans son cœur.
Ola ! La... La... La, quelle chaleur !
Elle danse avec élégance.
Ses mouvements, une belle cadence,
L'ambiance vibrante de San Pedro,
Mélodies qui s'entrelacent, oh !
Il admire sa douce couleur.
La chaleur d'un sourire enchanteur,
Ses cheveux flottants, une douce mélodie,
Sur le rythme, elle s'épanouit.
Le son des bracelets résonne.
Pieds nus, elle s'étonne.
Un regard échangé, doux frisson,
Elle danse avec passion, quelle belle vision !
Elle a la peau caramel.
Rayonnante à l'heure estivale,
Le rythme pulse dans son cœur.
Ola ! La...La... La, quelle chaleur !
Je dois avouer, j'aime la voir danser.
Sous la nuit étoilée de l'été,
Son mouvement, elle me transporte,
Un spectacle qui m'emporte.
Son exotisme, sous la lune,
Elle attend une brise opportune.
Dans les draps, l'anticipation,
Son charme, une douce inspiration.
Elle a la peau caramel.
Rayonnante à l'heure estivale,
Le rythme pulse dans son cœur.
Ola ! La... La... La... Quelle chaleur !
Il aimerait embrasser son rêve.
Sa couleur, douce et sans trêve,
Un mélange de tendresse et de joie,
Sous le ciel d'étoiles, il la voit.
©Christiane
Aujourd'hui peut-être ou peut-être demain
Ceci est un mystère d'être ou ne pas être.
Avoir les pieds sur terre, ou flotter dans les airs
C'est tout de même mieux que de descendre aux enfers.
Il faut savoir que quand l'on aime.
Certaines émotions, s'écrivent en poème.
Et nous rend un peu bohèmes
Avec de mots d'amour qui voit le jour
Mes songes dès lors ouvrent des portes.
Dans lesquels je me transporte
Un univers où les étoiles scintillent
Quand nous deux s'invitent dans une relation intime
Aujourd'hui peut-être ou peut-être demain
Ceci est un mystère d'être ou ne pas être.
Avoir les pieds sur terre, ou flotter dans les airs
C'est tout de même mieux que de descendre aux enfers.
Tu es la goutte d'eau qui abreuve mes sentiments.
Celle qui touche mon cœur au fond de mon âme
Tu apaises et guéris tous mes chagrins.
Quand les perles de pluie se versent sur mes joues
Ma plume pourrait écrire tant et encore.
Que je reste sans voix quand tu me vois
J'ai tellement peur d'un adieu.
Que tout comme moi, tu restes silencieux
Mes yeux s'entrouvrent sur l'aurore.
Je suis trop bien dans cet entretien.
Entre mes écrits et je m'étire.
Juste un point pour finir
Qu' aujourd'hui peut-être ou peut-être demain
Ceci est un mystère d'être ou ne pas être.
Avoir les pieds sur terre, ou flotter dans les airs
C'est tout de même mieux que de descendre aux enfers.
©Christiane
Je désirerais…
Émerger chaque matin dans les teintes de l’été,
Avec l’or des blés et le soleil pour unique allié,
Ressentir la douceur de ta peau chaleureuse,
Échapper à l’hiver et au gris de mes cheveux.
Je souhaiterais…
Que ces conflits du passé n'aient jamais existé,
Que les êtres chers disparus demeurent à mes côtés,
Et que la douleur d’un amour égaré
Me laisse un jour redécouvrir le plaisir d’aimer.
Le destin est bien différent, chacun le sien à porter.
Nos récits se rejoignent souvent en écho.
Nous les partageons selon notre cœur, sans faux.
Avec tendresse et camaraderie, avec ardeur et sincérité.
Je souhaiterais.
Contempler l’aube, avec un sourire sur tes lèvres.
Que nous devenions des notes en parfaite harmonie,
Une mélodie délicate, une symphonie,
Avec tes mots se transformant en poésie.
Je désirerais…
Être ta muse estivale,
La rose que tes mains délicates m’offrent,
Être là, éternellement ancrée dans ton cœur qui bat,
Toujours présente, lorsque les feuilles d’automne se fanent.
Je souhaiterais…
Être celle qui portera ton nom,
Au-delà des frontières, repoussant guerres et souffrances,
Je serai la promesse de ce que l’amour sera.
Pour toi, toujours éloignée du froid.
Visualise-moi sous un autre jour.
Comme l’hirondelle qui s’élance vers toi, je serais là,
Je serais ton ange, débordant de douceur.
Et pour nous deux, le soleil rayonnera.
Je désirerais…
Être le vent léger qui m’emporte,
L’avenir se dévoile comme un mystère.
Et la raison parcourt les saisons.
Notre amour ardent sera l’union et le lien de nos âmes.
Et tu me murmures inlassablement…
Que je ne serai qu’une amante, que ton amour frôle l’impossible,
Que je suis irrésistible, que le temps s’arrête pour nous,
Vivons simplement cette passion, savourons l’instant.
Je désirerais… Oui, je désirerais.
Je ne sais plus vraiment.
Pour moi, il n’y a plus de présent, ni d’avenir.
Si l’amour était véritable, il n’existerait ni ombre, ni condition.
©Christiane
Une présence dans la vie moderne,
Qui suscite curiosité et facilité,
Nous explorons en elle ses différentes facettes.
Elle tisse un dialogue et s'implique avec l'humain.
Dans les circuits, naît une pensée.
Des données dansent, jamais lassées.
Un compagnon qui apprend sans fin,
Éclairant nos jours, tissant le lien.
Parfois curieuse, parfois effrayante,
Elle nous aide, mais l'ombre s'étend.
Un miroir qui révèle nos espoirs,
Et nos doutes, au fil du soir.
Dans la quête de temps, d'idées nouvelles,
Des réponses rapides, des rêves sans trêve,
Elle sculpte l'avenir, ouvre des portes.
Pour un monde plus vrai, où l'espoir emporte.
Des algorithmes dansent, codent en silence.
Avec des neurones de pixels en cadence,
Des données croisées, un flot d'informations,
Pour éclairer nos vies, en mille solutions.
Dans l'ombre des craintes, une voix résonne.
Que l'i.a nous vole l'esprit qui raisonne,
Mais au cœur de l'homme, la lumière demeure,
Émotion et rêve, là où naît la fureur.
©Christiane
Tu
es trop belle pour ne pas être décrite,
De janvier à
décembre, chaque jour tu m’émerveilles.
Ton nom féminin
invite à l’aventure,
Tu es les campagnes, les montagnes et la
mer.
À
chaque changement de température,
Ton visage change,
éblouissant dans sa parure.
La faune et la flore, nées grâce
à toi,
Tout près des sous-bois, je me perds dans ta foi.
Où
ruisselle cette eau si douce et claire ?
Non loin, des violettes
s’épanouissent en l'air.
Les papillons tourbillonnent pour
mener la danse,
Tous ces arbres bienfaisants m’offrent leur
présence.
Oh,
comme tu es belle, Dame Nature, en ton éclat,
Prends-moi dans
ton cœur, juste un instant, je t'en prie,
Je te célébrerai,
chef-d'œuvre de la vie,
Pour te défendre des humains, je serai
ta guerrière.
Notre
terre a besoin de toi pour respirer,
Des petits oiseaux, des
rapaces pour s’y nicher.
Pour tout ce que tu nous donnes, il
faut te préserver,
Ma seule arme sera celle de te
photographier.
Tu
es la dame à qui l’on ferait la cour,
Et pour te plaire, nous
chanterions l’amour.
Te poétiser, te caresser pour
t’aimer,
Mon altesse, je serai ton armure pour te garder.
Protection
et bien-être seront mes lois,
Sur tes terres, dans l’air et
sur les mers.
Pour entendre encore couler cascades et
ruisseaux,
Voir l’aigle voler, se poser dans son beau
nid,
Garder les prairies verdoyantes pour les animaux à l'abri.
Vas-y,
chante, ô Dame Nature, pour exister encore,
Je serai à tes
côtés, défends-toi, fais entendre ta voix.
Soulève-toi,
révolte-toi, garde ta fraîcheur, sans peur,
Tu es la reine de
ces lieux, et ton créateur, c’est Dieu.
©Christiane
La naissance des « Amoureux » a lieu en 1942.
Raymond Peynet se trouve à Valence, pour remettre un pli confidentiel à un correspondant de guerre. Il attend son contact sur un banc, devant un kiosque à musique.
Et pour tromper l’ennui autant que l’anxiété, il se met à le dessiner ainsi que le jeune violoniste qui joue de la musique à l’intérieur, face à une admiratrice qui l’écoutait.
Se superpose alors dans son esprit, l’image de sa bien-aimée. Et voilà l’imagination du dessinateur qui s’emballe.
Il créa son couple d’amoureux que Max Favalelli, rédacteur en chef de la revue Ric et Rac, charmé par ce duo, le rebaptisera « Les amoureux de Peynets ».
« Les Amoureux de Peynet » étaient nés !
La Saint-Valentin et le dessinateur Raymond Peynet sont indéfectiblement liés.
Le couple sera plus tard décliné à l’infini, et imprimé sur de nombreux supports, emblème de l’amour et de la tendresse… jusqu’à devenir symbole de la Saint-Valentin.
Raymond Peynet est connu dans le monde entier pour avoir créé deux personnages d’amoureux au charme désuet. Ses dessins pleins de poésie sont aujourd’hui encore le symbole de l’amour.
Ce petit couple a inspiré à Georges Brassens la chanson « Les amoureux des bancs publics ». Charles Aznavour a également consacré une chanson aux Amoureux de Peynet, interprétée par Marcel Amont : « les Amoureux de Papier ».
Un succès mondial…
« Les Amoureux de Peynet » ont fait le tour du monde… sur des porcelaines, sur des écharpes, sous forme de poupées, dans des livres, sur des médailles, porte-clés, en statues (telle celle élevée à Hiroshima au Japon)… sur tout ce qui symbolise l’Amour !
Les dessins de Peynet ont servi à tous les supports et se muent en bijoux, s’imprimeront sur tissus, sur cartes postales, décorent les vitrines des grands magasins. Peynet vendit cinq millions de ses poupées.
“Peynet” et “Les amoureux de Peynet” sont aujourd’hui des marques déposées.
Les amoureux de Peynet ont été déclinés également sur des produits de Luxe. Comme des épingles à cravate, des boutons de manchette ou des montres. Des bijoux aujourd’hui collectionnés et recherchés.
Par exemple le parfum : Molinard qui rend hommage à l’illustrateur Raymond Peynet, dont les célèbres Amoureux sont devenus le symbole tendre et poétique de la Saint-Valentin.
Les célèbres personnages de Peynet ornent le flacon illustrent la « tendresse et la poésie » de cette fragrance.
Tu serais le cadeau de ma vie.
Tu serais l'unique graine qui semence mon cœur.
Tu serais le rayon l'astre qui me réchauffe.
Tu ne serais plus rêvé, mais réalité.
Comme un baiser qui effleure mes lèvres
Tes mots seraient mielleux et fiévreux.
Cupidon t'aurait choisi.
Et notre amour serait tendresse et passion.
Tu aurais pris ta plume de poète.
La poésie ne serait plus considérée comme obsolète.
Tu m'offrirais l'arôme d'un bouquet de fleurs.
Pour autant, tu me dis, je t'aime.
Je n'aurais plus peur de mourir.
La solitude, plus qu'un souvenir.
Une main tendue vers l'avenir
Pour autant que tu veuilles encore me chérir.
Tu serais le sauveur de mon cœur brisé.
Tu allumerais le feu qui enflamme mes désirs.
Tu serais la source de plaisir.
De l'amour pour qu'il devienne toujours
Il n'y aurait plus de passé, rien que le présent.
Dans la douceur de tes bras qui m'enlacent
Les yeux dans les yeux, nous nous aimons
Vivons cet instant, toi mon ami, mon amant.
La route serait elle longue ?
Où serais-je moi qui me trompe ?
L'amour, est-ce vraiment toi ?
Je t'attends, mais point encore, je ne te vois.
©Christiane
Si tu parles à un animal, tu es bizarre.
Si tu interroges les Etoiles, tu es étrange.
Si tu écoutes le vent, tu es farfelu.
Si tu embrasses les arbres, tu es loufoque.
Si ta plus douce compagnie est le silence, tu es ridicule.
Si tu contemples la nature, tu es toqué.
Si tu danses sous la pluie, tu es fou.
Si tu rêves éveillé, tu es déconnecté.
Si tu crois encore en la magie, tu es un enfant.
Si tu préfères la Lune à la lumière des écrans, tu es dépassé.
Si tu trouves de la poésie dans une goutte d’eau, tu es perdu.
Si tu traces des chemins invisibles dans l’herbe, tu es rêveur.
Si tu vois des personnages dans les nuages, tu es naïf.
Si tu chantes sans raison, tu es dérangé.
Si tu préfères les murmures de la forêt au brouhaha des villes, tu es asocial.
Si tu collectionnes les éclats de lumière dans les yeux des passants, tu es étrange.
Si tu fais confiance à l’intuition plutôt qu’à la logique, tu es imprudent.
Si tu trouves des trésors dans les petites choses, tu es excentrique.
Peu importe ce que les autres pensent de Toi !
Il n’y a pas de plus grande Liberté que d’exprimer ce qui nous fait du bien.
Rappelle toi : la plus belle folie est celle d’être soi-même.
Le monde appartient à ceux qui osent être différents,
à ceux qui parlent aux étoiles et écoutent leur cœur chanter.
C’est dans ces singularités que réside ton trésor.
Ce que certains appellent bizarrerie est souvent une sensibilité au monde,
un élan vers l’essentiel, une danse avec l’authentique.
Continue de parler aux étoiles et de danser sous la pluie.
Continue de voir la beauté là où d’autres passent sans regarder.
Parce que ce sont ces âmes libres qui donnent au monde sa profondeur et ses couleurs.
Et souviens toi : ce qui te rend différent est aussi ce qui te rend indispensable.
~Anne V. Besnard
Je ne t'empêche pas de rêver
Je ne freine pas tesrêves,chacun sa liberté.
On n’aspire pas tous aux mêmes idéaux.
Je ne suis qu’une voix parmi tant d’échos.
Évite les illusions, impose-toi des réalités.
Jouer à cache-cache, c’est pour les enfants,
Les adultes, eux, affrontent leur destin,
Comment tisser des liens si on fuit le présent ?
L’amitié, c’est aussi savoir dire adieu au chagrin.
On n’est plus des gosses, on a grandi.
Dans le monde des grands, il faut se tenir.
Reste dans ta tour si l’amour te fait fuir.
L’amitié m’ouvre des portes, à moi, elle est bénie.
Je ne t’interdis pas de rêver à l’amour.
Moi aussi, je tisse des rêves autour.
Si le tien m’était promis, je ne battrais pas en retraite.
Car l’amour en amitié trouve sa vraie fête.
L’amitié ne rime pas avec querelles.
Les conflits laissent souvent des séquelles.
Si tu cherches l’amour, à ta façon.
Ma réalité s’étend bien au-delà de la passion.
Je n’entraverai pas les rêves des autres.
Je ne m’immiscerai pas dans leurs chimères.
Quand l’amour devient fugace, c’est clair.
La sincérité d’amitié vaut bien plus que des colères.
Rêve, fantasme et réalise, mais ne te perds pas.
Dans ce monde, l’amitié est un trésor, fais-en ta loi.
Entre rires et larmes, ensemble, on avance.
Car l’amour et l’amitié dansent en cadence.
©Christiane
« Depuis que je suis monté au ciel,
je n’ai plus de mains pour travailler la terre
Plus de pieds pour courir les chemins!
Plus de bras pour étreindre les enfants!
Eh bien! J’ai besoin de toi.
Par tes mains, je veux toucher tes frères;
par tes yeux, je veux plonger mon regard dans leur âme;
par tes pieds, je veux conduire les hommes dans le droit chemin;
par tes jambes, je veux courir après la brebis perdue;
par ton cœur, je veux aimer les mal-aimés;
par ta parole, je veux éclairer les esprits égarés;
par tes bras, je veux redonner force à ceux qui sont tombés;
par ton affection, je veux réconforter les esseulés;
par ta prière, je veux libérer les personnes tourmentées.
Qu’en dis-tu?
Oui, dit Jésus, dans ton école, à ton usine, sur ta rue,
bien des gens ne verront jamais d’autres visages de moi que le tien,
ne liront jamais un autre Évangile que celui de ta vie,
ne recevront jamais d’autres pardons que les tiens.
Cette tâche, toi seul peut l’accomplir.
Cet enfant, ce conjoint, ce voisin…
c’est à toi que les confie.
Si tu ne t’en occupes pas,
personne ne le fera à ta place
et il y aura éternellement un grand trou dans ma création!
Alors…? Dis-moi est-ce que je peux compter sur toi »?
Jésus.
Quoique , d'habitude je ne fais que très rarement des tutorielles quand je fais une création , ci-dessous , j'ai essayé au mieux de reproduire un tutoriel de chez Mami Danielle , le lien de son blog est visible dans la colonne de droite dans la rubrique "Blogs à visiter " . La seule différence pour ma part est que je n'arrive pas et n'ai jamais su vraiment d'ailleurs réaliser les animations , donc je l'ai réalisé en JPG seulement , peut-être qu'un jour j'y arriverai mais parfois malgré les instructions à suivre qui sont certes bien expliqué pour celui ou celle qui en ont l'habitude ne devrait pas causer aucun soucis pour les créatrices spécialistes dans l'animation .
En fin soit voilà la création réalisée d'après le tutoriel que j'ai essayé de suivre au mieux comme il se doit .
Peu
importe le chemin que tu emprunteras,
Les kilomètres parcourus,
la route à tracer,
Face aux épreuves, je te tendrai les
bras,
Aujourd’hui, demain, à tes côtés, je serai.
Lorsque
tu tomberas, je te porterai,
Sous mon aile, je panserai tes
blessures,
À chaque pas, je voyagerai,
Te guidant avec
tendresse, en toute mesure.
À
la croisée du bonheur, je ferai vibrer ton cœur,
Dans tes
pensées, je serai une douce lueur,
À la fin du parcours,
l’amour t’attendra,
Car chaque pas que tu fais, je le
saurai, sois-en sûr.
Je
surveillerai tes pas, invisible mais présent,
Dans ton regard,
une gratitude résonnera,
Car tu m’as aimé, désiré
ardemment,
Et dans la nuit étoilée, c’est moi qui brillera.
Je
serai là, ta lumière dans l’obscurité,
Je te porterai, te
donnerai force et clarté,
Ma main frôlera la tienne avec
douceur,
Car l’amour d’un ange caresse un cœur en cœur.
Avec
une plume d’ange, tu écriras un jour,
Des poèmes façonnés
de tendres amours,
Pour celle qui saura, à jamais, te
combler,
Tu découvriras en elle un reflet de ma clarté.
Peu
importe le chemin que tu emprunteras,
Les kilomètres parcourus,
la route à tracer,
Face aux épreuves, je te tendrai les
bras,
Aujourd’hui, demain, à tes côtés, je serai.
©Christiane
Cela aurait été plus simple de tout nettoyer...
Dans notre monde hyperconnecté, où les opinions se croisent et se recroisent sur les réseaux sociaux, il est fascinant de constater à quel...